Au nom de l'amour .

Par intervalles régulières, un rythme trépident, mon coeur s'acharne, mon coeur se débat, juqu'à me faire ressentir ses pulsations dans chaque partie de mon corps, des phalanges de mes doigts, à mon abdomen qui se soulève par la seule force de ses battements. N'entends tu pas au loin mon poul qui s'affole, mon corps, mon coeur qui te reclament qui te rêvent, qui te veulent, qui te désirent ? C'est tout mon être qui est boulversé par le seul souvenir de tes yeux noirs dans lesquels j'adorais me perdre chaque fois que tu m'en donnait l'occasion, plonger jusqu'à froler la noyade, pour revenir déboussolée mais plus vivante que jamais. Finalement là où je suis perdue ce n'est pas dans ton regard, mais plutôt dans le peu de souvenirs que j'ai pu garder de nous deux.
Va comprendre: je te connais à peine et pourtant d'un seul regard, d'une seule approche, sans un mot, tu as su me planter la flèche droit dans le coeur. Il suffit que tu fasses quelques pas dans cette démarche lente, et sensuelle, mais masculine, en ma direction, pour que mon corps se réactive de façon automatique. Je peux alors observer mes poils se hérisser sur les bras, ressentir ma bouche sèche, ma respiration s'accélerer et cette quasi incapacité à rester statique. Il suffit que tu regardes en ma direction pour que je sois attirée comme dans un vortex où je tourne et me retourne à l'infini.
Je ne souhaites qu'une chose: avoir de nouveau l'occasion de me sentir aspiré en toi. J'aurai tant aimé vivre encore cette situation, ressentir ces sensations extrêmes et uniques. Cela explique ce manque que je ressens déjà depuis ces quelques semaines. Comment as tu pu me marquer autant ? C'est comme si tu avais signé ton passage sur mon coeur, comme si tu avais laissé à la façon d'un tatouage, ta trace sur ma peau. Comme un tatouage ça fait mal et pourtant c'est si bon.. Et même si cette trace est imperceptible, je la vois.
De cette façon je peux te sentir à distance, la pulpe de mes doigts la frôle et elle me transporte dans le temps. Tout s'arrête et je revis. Je ferme les yeux et plus rien n'a d'importance, juste le fait que je vis, que j'existe, que je suis chaque cellule de mon corps, et que je sens le sang remonter le long de mes veines. Parfois même j'ai l'impression que de mon dos, ce dos marqué, ce dos courbé, ce dos d'écorché vive, il en sort brusquement des ailes. Et je sais que si je pars à ta recherche j'y laisserai des plumes. Mais qu'importe, puisque ces ailes sorties de nulpart, n'existent que tant que j'aurai l'espoir de te retrouver.
Va comprendre: je te connais à peine et pourtant d'un seul regard, d'une seule approche, sans un mot, tu as su me planter la flèche droit dans le coeur. Il suffit que tu fasses quelques pas dans cette démarche lente, et sensuelle, mais masculine, en ma direction, pour que mon corps se réactive de façon automatique. Je peux alors observer mes poils se hérisser sur les bras, ressentir ma bouche sèche, ma respiration s'accélerer et cette quasi incapacité à rester statique. Il suffit que tu regardes en ma direction pour que je sois attirée comme dans un vortex où je tourne et me retourne à l'infini.
Je ne souhaites qu'une chose: avoir de nouveau l'occasion de me sentir aspiré en toi. J'aurai tant aimé vivre encore cette situation, ressentir ces sensations extrêmes et uniques. Cela explique ce manque que je ressens déjà depuis ces quelques semaines. Comment as tu pu me marquer autant ? C'est comme si tu avais signé ton passage sur mon coeur, comme si tu avais laissé à la façon d'un tatouage, ta trace sur ma peau. Comme un tatouage ça fait mal et pourtant c'est si bon.. Et même si cette trace est imperceptible, je la vois.
De cette façon je peux te sentir à distance, la pulpe de mes doigts la frôle et elle me transporte dans le temps. Tout s'arrête et je revis. Je ferme les yeux et plus rien n'a d'importance, juste le fait que je vis, que j'existe, que je suis chaque cellule de mon corps, et que je sens le sang remonter le long de mes veines. Parfois même j'ai l'impression que de mon dos, ce dos marqué, ce dos courbé, ce dos d'écorché vive, il en sort brusquement des ailes. Et je sais que si je pars à ta recherche j'y laisserai des plumes. Mais qu'importe, puisque ces ailes sorties de nulpart, n'existent que tant que j'aurai l'espoir de te retrouver.
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